Au fur et á mesure que les mois passent, mon opinion, malheureusement, devient plus solide: les leaders et les techniciens européens, sont en train d'appliquer des solutions et des
médicaux anciens, pour soigner les victimes de très nouvelles nouvelles maladies.
La situation, sérieuse, est devenu, si possible, plus sérieuse, quand, hier, Mr. Jean Claude Junkers, mondialement vu comme le visage de la monnaie unique, l'Euro, as dit que si
l 'Europe vas permettre qe la Grèce vas , encore, plus bas, au limite de ces pertes de soberanitée et de possibilité de survivre, ce seront, au minimmum, plus cinc États Membres
que iront la suivre, á court terme. Ça signifie, sans doutes, la fin de l'Euro et du projet européen tel que nous l'avons construit.nous permettons que la Grèce
Les politiciens, les décideurs et les "opinion makers " , la presse , en général, n'ont pas encore compris que quand on parle, aujourd'hui des "Marchés", c'est la même chose que on
appelait, il y a une trentaine d'années, de capitalisme sauvage.
En faite, cette place virtuel ou se jouent les plus values d'un très petit nombre de groupes financiers, et les pertes d'un grand nombre de pays, entrepreneurs et citoyens de tout le
monde, sont dominés par une culture de racine et ideologie fanatiquement neo libéral, égoïste et vide de Valeurs sociaux, qui a géré , en vérité, les problèmes qui nous ont emmenés
a la situation de crise global qui domine l'actualité et dominera le futur des prochaines générations.
La réponse, difficile aussi par manque de valeurs solidaires, de partage et de conscience collectif, les Valeurs Fondateurs de l'Union, On jette de plus en plus de millions de millions
d'euros dans les pays en risque de default, en sachant que, dans le prochain futur, c'est à dire, quand les Marchés le veulent, on seras obligé á jeter de plus en plus , pour les
mêmes pays ou , bien , des nouveaux.
Alors, avec une tel solution, l'Europe feras la nourriture du petit groupe que ne cherche que l'accumulation, les marchés ou le capitalisme sauvage, qui prennent le capital engagé et ,
plus , les interès á des niveaux que n'ont pas rien á voir avec le risque des preneurs de fonds.
Absolument, ce snt des inteèsontés tueurs, parce que , au lieux de compenser le risque, ils condamnent, effectivement, la possibilité de faire fece aux remboursements de fonds tels que
le contrat.
On se demandera , alors, quel est la stratégie de ces agents du marché, tuer les preneurs en sachant qu'ils ne leurs payeraient jamais?
La réponse est simple: il s'agit, en effet, de l'attaque á la monnaie unique, faire tomber la'Euro et tout ce que représentent , citoyenneté´jà, pour le Monde et la Civilisation, l'affirmation,
partout, des Valeurs de la democratie, de citoyenneté, liberté, fraternité et solidarité, de l'affirmation de la grande Democratie Mondial et des Droits de l'Homme.
La réponse dois être une autre, difficile á définir mais, sans doute, nouvelle et pas celle l'a que on viens d'utiliser, jeter de l'argent indispensable pour la survie de nos Citoyens et
nos Enfants et nos Parents dans le très prochain futur.
Il faut refuser ce capitalisme sauvage, sans refuser le capitalisme, bien sure. Il faut refuser les Marchés, tels que son visage et ces bras.
Très rapidement. vite, très vite.
C'est, vraiment, une question de survivre ou pas...nous , nos vieux , nos Enfants et la possibilité de vivre en Société, tel que nous l'avons appris, dés le jour où tout ça a commencé,
ou pas..
Carlos Pereira Martins
Conselheiro - Member
Comité Economique et Social Européen (CESE)
99, rue Belliard B-1040 Bruxelles
Tél: + 32-(0)2-546.94.44 - Fax: + 32-(0)2-546.97.53
Email: Carlos.PereiraMartins@eesc.europa.eu
cpmartins@netcabo.pt
Site internet: http://eesc.europa.eu
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